La crise du neuf s’avère toujours profonde dans le logement alors que le non résidentiel résiste mieux. Quant au segment de l’amélioration-entretien, son ralentissement se confirme au premier trimestre 2024 du fait notamment de la réforme trop brutale de MaPrimeRénov’. L’activité bâtiment se replie donc de 4,6 % en glissement annuel au premier trimestre 2024.